FEUILLE du PIC (Programme International du Coeur ou du Citoyen)

TRAITE de POLIQUE ALONSO - Coronavirus COVID-19, Drawdown, Démocratie, Écologie, Environnement et Climat, Crise financière, Décroissance, Inégalités Nord-Sud, Consumérisme, Productivisme, Pacifisme, Djihad, Spiritualité, Non-violence, Charte du consommateur responsable, Végétarisme, Commerce équitable, Ville en transition, Gandhi, Non-violence, Résistance civile.

19 avril 2020

Le Covid-19 nouvelle arme de guerre contre la liberté des Peuples !

Le Covid-19 nouvelle arme de guerre ?


   Après l'hypothèse que le Covid-19 pouvait venir des élevages en batterie, les dernières informations peuvent en suggérer une autre : une guerre de type viral provoquée par le dictateur chinois Xi Jinping. Plusieurs éléments vont dans ce sens. La liquidation ou la mise en résidence surveillée des premiers lanceurs d’alerte chinois qui ont révélé le début de la pandémie en Chine. Ce coronavirus n’a probablement pas été transmis à l’homme depuis un animal sur un marché. Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a évoqué cette semaine une « enquête » qui cache des faits plus inquiétants. L’existence du laboratoire P4 (pathogène de classe 4) de virologie situé à Wuhan en Chine où s’est déclarée la pandémie Covid-19 serait en cause. Le Washington Post avait alerté en 2018 sur des mesures de sécurité insuffisantes dans ce laboratoire qui manipule les virus les plus dangereux au monde, dont les coronavirus. La chaîne Fox News a également dénoncé ce laboratoire qui a été conçu avec l’aide de la France. Le chercheur français qui travaille dans ce laboratoire a invoqué son « devoir de réserve » à l’AFP.

   La France a ouvert un laboratoire plus dangereux que la bombe atomique dans un pays dictatorial ?


   Un accord entre la France et la Chine a été signé en 2004, pour, nous dit-on, lutter contre les maladies infectieuses émergentes. Ce projet a été mené en collaboration avec le laboratoire P4 Inserm Jean-Mérieux à Lyon. Yves Lévy faisait partie de la délégation française. Yves Lévy est le conjoint d’Agnès Buzyn ex-Ministre des Solidarités et de la Santé de mai 2017 à février 2020 qui a démissionné en larmes de son poste pour briguer la mairie de Paris. Probablement un ordre venu d’en haut, de crainte qu’un nouveau scandale éclabousse le gouvernement. Yves Lévy est un médecin immunologiste spécialiste de l’infection par le VIH, Président-directeur général de l’Inserm entre 2014 et 2018, qui a conseillé le gouvernement.

Mais quoi encore ?


   Le couple Buzyn-Lévy est la cible de messages de scientifiques qui les accusent d’avoir saboté le travail de Didier Raoult et empêché le recours à hydroxychloroquine pour lutter contre l’épidémie. Ça fait beaucoup de coïncidences non ! L’hypothèse que le Covid-19 viendrait de la chauve-souris qui l’aurait transmis au pangolin, qui l’aurait transmis à son tour à l’homme est écartée. Car des études publiées par des chercheurs chinois révèlent que la première personne infectée par le Covid-19 n’a pas fréquenté le marché de Wuhan. Le Washington Post et le Fox News révèlent que l’origine de l’épidémie viendrait d’un employé contaminé du laboratoire. Le laboratoire P4 de Wuhan a démenti ces soi-disant rumeurs en février. Il a déclaré avoir reçu le 30 décembre des échantillons du nouveau coronavirus qui a été identifié comme le SARS-CoV-2 le 2 janvier, puis avoir transmis ces informations à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a confirmé avoir reçu cette information le 11 janvier de la Chine. A priori tout va bien.

La guerre virale en marche ?


   Si l’on additionne tous les mensonges et les persécutions des lanceurs d’alerte en Chine depuis le début de l’épidémie, une autre hypothèse inquiétante pourrait être que le covid-19 ne serait pas apparu accidentellement, mais bien volontairement pour tester la capacité létale de ce virus sur les populations en grandeur nature, après en avoir découvert le vaccin. Un test qui rappellerait les bombes atomiques lancées par les États-Unis sur le Japon en août 1945. Cette nouvelle arme de guerre aurait été lancée par le dictateur chinois dans un but précis, déstabiliser l’Occident, qui en paie les frais. Le moment serait bien choisi, car la Chine fournit les souches des médicaments, les masques, les respirateurs, la belle affaire ! Personne n’était préparé à une telle attaque. Les morts se compteront bientôt en millions. Et la catastrophe économique qui est marche est inédite, puisque contrairement aux dernières guerres mondiales, elle frappe tous les pays développés.

La grande marche à reculons de Macron


   Ces derniers jours on entend qu’il faut se préparer à d’autres pandémies, qui seraient liées au réchauffement climatique ; un phénomène qui n’est pas tombé avec la dernière pluie. Les gouvernements n’ont pas cessé de diminuer les libertés individuelles – dans les pas des États-Unis - et les moyens des hôpitaux publics pour favoriser le secteur privé. Macron a déclaré la guerre à un virus sans munitions. Quels sont les bénéficiaires du confinement et du désastre humain en France ! Les banques, les grandes surfaces, les laboratoires pharmaceutiques…


02 avril 2020

LA PESTE GOUVERNEMENTALE


             La France est un pays frappé par le virus de la « macronie », qui est plus dangereux que le COVID-19. Tous se sont rangés derrière un Président qui a instauré une dictature pour favoriser les groupes de pression (lobbies) que sont les laboratoires pharmaceutiques allopathiques et les grandes surfaces (Auchan, Carrefour, Leclerc, etc.). Depuis 2017, avec l’adoption dans la loi de l’état d’urgence, les lois liberticides ne cessent plus d’augmenter en confisquant les libertés individuelles gagnées de haute lutte dans un passé récent. C'est un paradoxe de voir tous les mouvements contestataires multiples et variés qui manifestaient dans les rues de France se ranger derrière Macron qui rêvait d'un moyen radical tel que le confinement pour les mettre au pas, afin de poursuivre sa politique de réformes toxiques. Effectivement, la stratégie gouvernementale qui privilégie les sociétés cotées en bourse, leurs actionnaires et les grands industriels se vérifie de plus en plus, mais plus aucune voix ne peut s’élever contre les scandales de la "macronie", vrai crime contre l’humanité et la nature.  Tous les médias ont été mis au pas du grand capital et ça marche ! 
En voici la preuve : Concernant l’épidémie, le gouvernement n’a pas suffisamment insisté sur les gestes préventifs. La distanciation sociale qu’il préconise n’établit pas la distanciation sanitaire avec le virus, qui n’implique pas forcément le confinement qui est catastrophique pour les relations sociales, la santé psychologique et l’activité économique des petits commerces et des petites entreprises. On assiste à des scènes ubuesques et scandaleuses auxquelles la population se plie sans broncher. Les marchés de plein air sont interdits au profit des grandes surfaces de la distribution où les caissières ne portent pas de masques de protection, où les clients en air conditionné (?) ne respectent pas les gestes préventifs sans être rappelés à l’ordre par des vigiles. Les marchés de plein air ont été pour beaucoup interdits avec la recommandation gouvernementale (25/03/2020, France info) faite à la grande distribution d’acheter la production locale aux petits paysans. Les maires ou préfets prennent des mesures draconiennes envers les petits producteurs, qui ne sont pas imposées à la grande distribution. Les marchés en plein air ou dans les halles où viennent vendre les petits producteurs qui restent autorisés, soumettent les consommateurs à une discipline de distanciation physique exagérée qui ralentit considérablement le flux marchand. Des barrières forment des couloirs interminables pour canaliser les personnes qui entrent au compte-gouttes.
On peut s’interroger pourquoi le gouvernement a tant tardé à diffuser les gestes préventifs qui sont encore ignorés par nombre de personnes ; notamment la diffusion du virus avec le toucher de surfaces infectées. On peut s’interroger pourquoi la France ne disposait pas suffisamment de masques et autres moyens pour protéger les soignants et a autant tardé pour tester la population. Tous ces manquements aux règles élémentaires en période épidémique ont été des facteurs aggravants pour la diffusion du virus et la quantité des morts enregistrés et à venir.
Même les alertes COVID-19 diffusées en boucles sur France info encore aujourd'hui, ne signalent toujours pas la contamination par le contact de surfaces où peut se trouver le virus.
Et Macron parle de nationaliser les entreprises des copains pour éviter des faillites. Ce n'est pas le Medef qui leur viendra en aides, mais les impôts des Français qui ne cachent pas leurs revenus dans les paradis fiscaux. De plus, le rêve de tout dictateur n'est-il pas de tout tenir dans ses mains en nationalisant ; une petite RPC à la française avec un "flic" et une caméra derrière tous ces braves citoyens. Macron ne serait-il pas en train de devenir un brave socialiste. Il ne manque plus que Mélenchon au poste de Premier ministre.
Il faut lire la presse étrangère1 pour apprendre que les autres pays européens dont les plus petits sont la Norvège, la Suisse et la Slovénie ont commencé à tester leur population, pendant que la France disait ne pas pouvoir le faire faute de moyens.
Les laboratoires allopathiques qui tuent autant qu’ils soignent, appuyés par un gouvernement de politiciens corrompus ou de sots, et par une désinformation de masse entretenue par les médias pas moins corrompus ou sots, ont réussi l’inimaginable et scandaleux projet de mettre en difficulté une société française prometteuse, les Laboratoires pharmaceutiques et homéopathiques Boiron, qui méritaient d'être développés sur les plans national et international avec l'aide du gouvernement. Honte à ce gouvernement !
Il faut rappeler que c’est la loi germinale de l’an XI (avril 1803) qui a légalisé l’usage des médicaments homéopathiques en France et que 1163 d’entre eux étaient remboursés par la sécurité sociale à 65 % avant la décision gouvernementale arbitraire de mettre un terme à ce remboursement en décembre 2019 ; mesure liberticide appliquée en janvier 2020, pour un déremboursement total prévu en 2021. Le remboursement de la sécurité sociale a été réduit de 30 % à 15 % dès le 1er janvier 2020, et passera de 15 % à 0 % dès le 1er janvier 2021. Cette médecine possède des traitements. Pourtant les résultats de l’homéopathie contre l’épidémie de choléra au XIXe siècle et la création d’hôpitaux homéopathiques ont démontré l’efficacité de la médecine homéopathique, qui aurait dû faire partie des recommandations pour lutter contre l’épidémie.


Rappel sur l’homéopathie2 :

L’expression homéopathie : Le terme homéopathie a été inventé par le fondateur de l’homéopathie Samuel Hahnemann (1755-1843) Il est composé des termes grecs « omois » (semblable) et « pathos » (maladie) Hahnemann invente aussi le terme allopathie du grec « alloion » (différent) pour la distinguer du courant médical toujours dominant à cause d’un manque d’information des malades et des pressions des sociétés pharmaceutiques. Hahnemann étudie Hippocrate (~460~377) qui écrivait « La fièvre est supprimée par ce qui la produit et produite par ce qui la supprime ». Aton von Stoërck (1731-1803) médecin viennois son principal inspirateur dit : « Du moment où la stramoine… cause la folie… n’est-il pas permis d’expérimenter… si encore elle ne ferait pas, par un mouvement contraire, disparaître les convulsions chez ceux qui en éprouvent ? ». 

Le principe de la similitude « Toute substance susceptible de déterminer chez l’homme sain certaines manifestations est susceptible, chez l’homme malade, de faire disparaître des manifestations analogues » Hahnemann.

La pathogénésie consiste à expérimenter l’action des produits homéopathiques en développant une pathologie chez un sujet sain et comprend : Le protocole qui fixe le mode de sélection du lot de sujets sains pour l’administration des substances. Puis le dépouillement des données qui fournit les résultats d’expérience des symptômes objectifs et subjectifs apparus. La toxicologie des substances est établie à l’aide d’un animal de laboratoire ou d’informations humaines (accidents, maladies professionnelles, etc.).

La renommée provient des connaissances antérieures « Par exemple l’Arnica montana est réputée pour son action sur les traumatismes fermés, il est parfois dénommé sous l’appellation populaire de “médicament des bosses” ».

Le médicament et la dilution infinitésimale : Les matières premières utilisées dans les médicaments ne proviennent pas de molécules de synthèses — dangereuses pour l’environnement et l’homme. Les matières premières utilisées comme produits actifs en homéopathie sont naturelles. Elles proviennent de souches végétale, animale et minérale et autres. La dilution consiste à diluer le produit actif qui constitue le médicament dans un solvant. Cette dilution va de 1/100 (1CH ou une dose de produit actif pour 99 doses de solvant) à 1/1060 (30CH). Les dilutions se décomposent en trois classes : les dilutions basses jusqu’à 5CH (1/1010), les dilutions moyennes de 7CH à 9CH et Les dilutions hautes de 12CH à 30CH. L’efficacité de l’infinitésimalité dans les dilutions hautes n’est pas démontrée scientifiquement, mais par la pathogénésie et la pratique. Hahnemann précise : « Ce n’est pas en vertu d’une opinion préconçue ni par amour de la singularité que je me suis décidé en faveur d’aussi faibles doses […] J’y suis arrivé après des expériences et des observations souvent renouvelées […] je suis descendu jusqu’aux doses les plus minimes, qui me paraissent bien suffisantes pour exercer une action salutaire, sans agir avec une violence capable de retarder la guérison. »

La globalité : Les pathogénésies prennent en compte les symptômes objectifs et subjectifs du sujet qui reflètent sa globalité réactionnelle et composent la sémiologie homéopathique. Effectivement l’homéopathe interroge longuement le patient pour connaître ses symptômes et ses réactions psychiques afin d’établir le diagnostic. Un malade qui souffre d’ulcère à l’estomac aura un traitement homéopathique de base différent s’il souffre aussi de troubles nerveux ; alors que l’allopathie traite ces deux maladies avec deux médicaments respectifs. « Il n’y a pas des maladies, mais des malades : aucun malade ne ressemble totalement à un autre » Hahnemann.

La reconnaissance de l’homéopathie : La loi germinale de l’an XI (avril 1803) légalise l’usage des médicaments homéopathiques en France et 1163 d’entre eux étaient remboursés par la sécurité sociale à 65 % avant la décision gouvernementale arbitraire et liberticide de mettre un terme à ce remboursement en décembre 2019.

La pratique médicale : L’homéopathie est pratiquée par des homéopathes qui ont fait trois années de spécialisation après leur diplôme de médecine générale. Le syndicat national des médecins homéopathes français créé en 1932 a proclamé en 1989 la charte du médecin homéopathe. Il est associé au syndicat national de la pharmacie homéopathique, qui a rédigé en 1995, un livre blanc, dont les premières mesures sont « 1 — Développer la place de l’homéopathie dans la politique nationale de santé. 2— Maintenir l’égalité des Français devant les soins médicaux et leur libre choix thérapeutique. »

Honte à ce gouvernement !



2 – Extrait en grande partie de L’homéopathie d’Alain Sarembaud, éd. PUF 1999, chargé de cours à la faculté de médecine de Paris-Nord, Secrétaire de la Fédération nationale des sociétés médicales homéopathiques de France.