FEUILLE du PIC (Programme International du Coeur ou du Citoyen)

TRAITE de POLIQUE ALONSO - Coronavirus COVID-19, Drawdown, Démocratie, Écologie, Environnement et Climat, Crise financière, Décroissance, Inégalités Nord-Sud, Consumérisme, Productivisme, Pacifisme, Djihad, Spiritualité, Non-violence, Charte du consommateur responsable, Végétarisme, Commerce équitable, Ville en transition, Gandhi, Non-violence, Résistance civile.

10 février 2009

Présentation de l'essai : Guide de la Révolution non-violente




Auteur :
Jean-paul Alonso (conférencier sur la non-violence et Gandhi)

Référencements : BNF - Electre – Chapitre.com - Priceminister.com

Recommandations : La présentation complète du sujet de la non-violence politique fait de cet essai un ouvrage de référence, qui est recommandé par les spécialistes tels François Vaillant, philosophe, rédacteur en chef de la revue Alternative non-violente (été 2009, voir page 2), Jean-Marie Muller, philosophe de renommée internationale, directeur à l’Institut de recherche sur la résolution non-violente des conflits, Raoul Marc Jennar, politologue auprès de l’ONU, et l’historien saintais Henri Texier.

Rapport qualité-prix : Son format de poche, son bandeau qui annonce le bon accueil des spécialistes, la quantité d’informations qu’il contient, pour un prix de 10 euros, le rendent très attractif. Il est imprimé avec la police de caractère « Arial 9 » sur du papier recyclé et de l’encre végétale pour respecter l’environnement.

Résumé : La non-violence politique est un outil destiné à la société civile pour lutter contre les dérives autoritaires d’un Etat ou d’une tutelle quelconque, qui enfreint les droits fondamentaux de la personne humaine ou de la nature. Ce guide est destiné aux personnes qui s’intéressent aux sciences politiques ou humaines, et qui veulent comprendre la pensée de Gandhi. Il présente les outils et les stratégies utiles aux luttes non-violentes. Le 1er chapitre dresse un constat de la civilisation occidentale, qui vit aux dépens des pays du Sud, tout en menaçant l’équilibre écologique de la planète. Le 2ème chapitre expose la non-violence au regard des religions et du droit et trace 20 portraits d’activistes non-violents (Thoreau, Tolstoï, Lecoin, Giono, del Vasto, King, L'abbé Pierre, Chavez, Rabhi, Bové, etc.) ; il donne aussi une biographie politique de Gandhi, puis présente en 29 paragraphes les différentes techniques de lutte non-violente (la désobéissance civile, la cohésion des manifestants, l’obstruction et les interpositions, les marches, les manifestations, le boycott, la grève de la faim, le programme constructif, etc.). L’auteur réactualise le testament spirituel de Gandhi pour illustrer l’esprit qui sous-tend les luttes non-violentes. Le 3ème chapitre propose des exemples d’actions non-violentes individuelles avec une charte du consommateur, et collectives avec un plan en 8 étapes.

Distributeurs : ISBN : 978-2-9525139-1-3

  • Toutes les librairies
  • Jean-paul Alonso 10, rue Aliénor d'Aquitaine 17100 Saintes tél : 06 27 07 28 39 mailto : jean-paul.alonso@hotmail.fr

Conditions :

Date de parution : décembre 2008

Prix public : 10 euros (1,7 euros de frais de port jusqu'à 2 livres pour la France)

Remise libraire : 30% (progressif avec la quantité)

Format : Poche 12 x 18cm

Le livre contient : 140 pages, 140 citations, 376141 caractères et espaces, plus de 50 références bibliographiques.

Événements : l’auteur assure conférence, présentation-dédicace, interview, conseils.



Voici le sommaire avec des extraits du livre :

Résumé au dos du livre :
Gandhi écrit au sujet de la non-violence : « Je l’ai présentée comme une méthode politique destinée à résoudre des problèmes politiques » et Nehru écrit au sujet de la libération de l’Inde : « On a dit que l’action non-violente était une chimère ; elle a été, ici, le seul moyen réel d’action politique. »
César Chavez écrit : « Nous ne sommes pas non-violents parce que nous voulons sauver notre âme. Nous sommes non-violents parce que nous voulons obtenir la justice sociale pour les ouvriers. Qu'importe aux pauvres que l'on construise d'étranges philosophies de non-violence, si cela ne leur donne pas de pain. »
La croissance du produit mondial brut illimitée imposée par le libéralisme économique, sur une terre aux ressources limitées et à la démographie croissante, nous conduit dans une impasse humanitaire et écologique généralisée à brève échéance. Pour que le Nord vive dans l’opulence et le gaspillage, un milliard de personnes restent dans le sous-développement et cent mille d’entre elles meurent chaque jour de faim et de maladie.
Un autre monde est possible et souhaitable ; pour l’atteindre, nous devons échapper à la manipulation mentale de masse exercée par les profiteurs qui nous poussent au productivisme et au consumérisme pour s’enrichir. Pour cela, nous devons éradiquer la violence qui est en nous en retrouvant les vraies valeurs du bonheur et du partage. Nous devons mener des combats non-violents de masse pour établir la justice sur terre. Cet essai présente les outils et un plan pour mener une Révolution non-violente planétaire.

Introduction :
« Je ne désire pas qu’un seul être me suive, si je n’ai pas fait appel à sa raison. » Gandhi* 14 juillet 1920, journal Young India.

Le premier chapitre de cet ouvrage intitulé « Le constat », dresse le triste portrait de la civilisation occidentale, en rapportant le discours d’Evo Morales tenu en 2007 à l’ONU, et la contribution que j’ai écrite en 2007, intitulée « La décroissance économique pour une politique non-violente ». J’ai ajouté un article sur la « crise économique » 2008. Le deuxième chapitre, intitulé « Les outils », expose l’évolution de la non-violence à travers les religions, le droit, des portraits d’activistes et leurs combats, une biographie de Gandhi, puis présente les différentes techniques de résistance non-violente (grève, boycott, marche ou défilé, etc.). La non-violence politique est un outil pour lutter contre les dérives autoritaires d’un Etat ou d’une tutelle quelconque, qui enfreint les droits fondamentaux de la personne humaine, de la nature ou des animaux. C’est une stratégie individuelle ou de masse, qui, sans user de la violence, cherche à faire plier l’adversaire en refusant de collaborer avec lui. Elle interpelle nos concitoyens par tous les moyens non-violents possibles. Cette deuxième partie présente aussi Les lettres à l’ashram de Gandhi*, que j’ai réactualisées, ainsi qu’une méthode psychophysiologique pour atteindre la maîtrise de soi, afin d’améliorer son existence et de mener les luttes non-violentes. Le troisième chapitre, « Le combat », relie le sujet, qui est la non-violence, à son objet politique, en proposant des actions individuelles et collectives pour remédier aux abus et aux violences des lobbies et de l’Etat. Vous y trouverez une charte du consommateur responsable et un plan révolutionnaire.......


Chapitre I : Le constat

I-1- Discours d’Evo Morales à l’ONU

I-2- La décroissance économique pour une politique non-violente


I-3- La « crise financière » de 2008

Chapitre II : Les outils

II-1- La non-violence : origine - domaine d’application - religion – droit
– ONU – histoire – dissuasion et résistance – Etat

extraits :


II-1-7- La grève générale pour la paix internationale

Après la reconnaissance du droit syndical en 1884, la Confédération générale du travail est créée en 1895. En 1906, la CGT adopte la « charte d’Amiens » qui supprime le lien organique entre partis politiques et syndicats. Cependant, les anarcho-syndicalistes et les socialistes de l’époque s’entendent sur les moyens à mettre en œuvre pour mettre un terme aux guerres en Europe. Les socialistes Jean Jaurès et Édouard Vaillant font adopter la même année par la SFIO la nécessité d’une action contre la guerre dans chaque pays, début de citation : « par tous les moyens depuis l’intervention parlementaire, l’agitation publique, les manifestations populaires jusqu’à la grève générale ouvrière et l’insurrection. » Cette position valut à la SFIO les vives attaques de la grande presse possédée par les grands propriétaires. Les socialistes partisans de Jules Guesde considéraient qu’il n’y avait pas lieu de combattre le militarisme et le capitalisme séparément. (13)...........

II-1-8- La dissuasion et la résistance civiles non-violentes

...... La sécurité d’un pays, d’une nation, face à des agresseurs potentiels s’obtient par la dissuasion. Cette stratégie doit faire en sorte que les pertes engendrées par une éventuelle agression soient supérieures aux profits économiques, politiques et idéologiques de soumission escomptés par les agresseurs. La dissuasion militaire, par exemple nucléaire, élève le facteur coût en opposant une puissance de frappe redoutable qui fait appel à de lourds moyens de recherche, lesquels précisons-le, sont à la charge des contribuables. Ce genre de dissuasion armée n’est pas prévu pour faire échec aux facteurs politiques et idéologiques de soumission, contrairement à une autre approche non militarisée, qui consiste en une dissuasion civile. Cette dernière repose sur une résistance civile non-violente de toute la population du pays à ses agresseurs. Elle devrait faire appel à un service civil adéquat, organisé par un ministère non-violent et sans arme de la Défense de la Liberté. Non seulement la violence ne peut pas maintenir une paix durable, mais de plus elle est ruineuse en armes et en armées, et souvent en dégâts civils collatéraux, humains, matériels et écologiques. L’Etat et la population doivent sortir du paradigme qui confond le pouvoir avec la force et la force avec la violence. Pour cela, nous devons retenir que le terme « non-violence » n’est pas synonyme de « pacifisme » et encore moins de faiblesse et d’absence de pouvoir........On comprend que les gouvernements des pays, qui s’inscrivent à l’intérieur du paradigme de la pensée unique, qui repose exclusivement sur la violence, ne soient pas disposés à former leur population civile à résister à l’oppression par des techniques non-violentes. Elles ont trop peur que ces instruments ne se retournent contre leur propre autoritarisme et que les peuples ne disposent un jour enfin d’eux-mêmes.

II-2- Portraits de vingt activistes non-violents
(Erasme, Marie-Olympe de Gouges, Henry-David Thoreau, John Ruskin, Léon Tolstoï, Romain Rolland, Louis Lecoin, Jean Giono, Vinoba Bhave, Lanza del Vasto, Martin Luther King, Rosa Parks, Jacques Pâris de Bollardière, L'abbé Pierre, Nelson Rolihlahla Mandela, Albert Jacquard, César Estrada Chavez, Pierre Rabhi, Coluche, José Bové (Joseph), Liste des Prix Nobel de la Paix qui ont mené des luttes non-violentes)

II-3- Petite biographie politique de Gandhi (23 pages)

II-4- La boîte à outils de l’activiste non-violent (grève, boycott, ...)

II-5- Les lettres à l’ashram (présente la philosophie de Gandhi réactualisée pour le 21ème siècle)

II-6- La non-violence personnelle ou la méditation positive

Chapitre III : Le combat

III-1- La charte du consommateur responsable

III-2- Appel à la révolution non-violente planétaire

Repères bibliographiques (fin)



Les internautes peuvent le commander sur
:
http://www.priceminister.com

http://www.chapitre.com

Jean-paul Alonso
10, rue aliénor d'aquitaine
17100 Saintes
tél : 06 27 07 28 39
Président fondateur de l'association pour la non-violence et la solidarité
auteur et conférencier sur la non-violence politique
http://www.non-violence-solidarite.blogspot.com



********** REVUE DE PRESSE **********


Jean-Paul Alonso dédicace son essai Guide de la révolution non-violente toute la journée samedi 18 juillet, de 10 h à 19 h au Forum, place Centrale. Partant du déséquilibre qui existe dans les rapports Nord-Sud, l'écrivain originaire de Saintes propose « des outils pour changer les choses ». Il consacre dans son ouvrage plusieurs chapitres à « l'histoire de la non-violence et celle de ses penseurs », d'Olympe de Gouges à Jean Giono, en passant par Léon Tolstoï. Sans oublier Gandhi, qui a popularisé le concept : « Il avait tout dit, mais il n'a pas été compris et il a été utilisé par son entourage. » Le livre de Jean-Paul Alonso est d'ailleurs dédié à l'homme politique indien. Pour lui, « la révolution du système ne doit pas passer par les armes et doit avant tout se faire par une prise de conscience ».


***l’Echo des Arènes (août 2009) ***

C’est à Saintes que Jean-Paul Alonso, auteur et conférencier sur la non-violence et Gandhi, président de l’Association saintaise pour la non-violence et la solidarité, est venu terminer d’écrire son dernier livre. Pourquoi Saintes ? « Je suis tombé amoureux de Saintes à l’été 2007, depuis j’y vis et j’écris en contemplant l’église Saint-Pierre et les tuiles rondes de la vieille ville ». Pourquoi le sujet de la non-violence ? « J’ai travaillé pour le domaine spatial et je suis l’inventeur d’une théorie des réseaux, mais je suis avant tout poète. Alors je suis passé de l’autre côté du miroir des mots, pour essayer d’engendrer la vraie beauté en commençant par participer à la construction d’un orphelinat en Inde et secourir des personnes sans abri en région parisienne. Puis, j’ai réfléchi aux moyens d’atteindre un monde globalement meilleur. J’ai trouvé la réponse chez Gandhi. » Dans ce livre l’auteur réactualise la pensée de Gandhi pour le 21ème siècle. Un travail de 3 années, qui a été plébiscité dans le numéro de juin 2009 d’Alternatives non-violentes, la revue de l’Institut de recherche sur la résolution non-violente des conflits (irnc).


***Alternatives non-violentes (juin 2009) ***

Voici cette recension présente sur le site de Non-violence XXI : « Ce petit livre, au titre alléchant, est étonnant. (…) Ce guide de la révolution non-violente se veut être un essai à la mémoire de Gandhi. Il présente l’avantage de faire le lien entre le besoin d’une décroissance économique, sereine et raisonnable, et le choix des méthodes d’action non-violente. De plus, une vingtaine de grandes figures de la non-violence sont présentées avec finesse et exactitude. Le lecteur trouve ainsi rassemblées (pp 57-81) la vie et l’œuvre d’Érasme, Thoreau, Ruskin, Tolstoï, Lecoin, Lanza del Vasto, de Bollardière et même Coluche ! Une biographie politique de Gandhi vient ensuite. La justesse et la concision des propos emportent l’adhésion de tout connaisseur. Puis la description des méthodes de l’action non-violente (pp.81-118) font de ce livre un écrit essentiel à qui veut découvrir sérieusement les bases et les grandes actions non-violentes. Cet ouvrage inattendu, d’un auteur inconnu d’ANV, montre à l’évidence que la non-violence est à l’ordre du jour. Les thésards, notamment amoureux de recherches sur la Toile, seront aux anges, comme tous ceux passionnés par elle, tant le lecteur trouve également dans ce livre l’indication de site à explorer pour approfondir les potentialités éthiques et politiques de la non-violence. Un ouvrage vraiment étonnant ! » François Vaillant, philosophe et rédacteur en chef d’ANV. Plus récemment, cet essai a reçu l’approbation de Jean-Marie Muller, philosophe de la non-violence, directeur de recherche à irnc, du politologue Raoul Marc Jennar et de l’historien saintais Henri Texier.


***Paris Normandie (12 mai 2010) ***

«Changer par la conscience»

DEDICACES. Jean-Paul Alonso, auteur du Guide de la révolution non-violente, était au Forum vendredi dernier.

L'auteur assure que pour changer la société actuelle, la prise de conscience a plus d'effet que la violence

L'auteur assure que pour changer la société actuelle, la prise de conscience a plus d'effet que la violence politique

Le guide de la révolution non-violence, à la mémoire de Ghandi, c'est l'essai de Jean-Paul Alonso. L'auteur était en dédicace, vendredi dernier à Forum. « Ce livre est parti de la révolte que je ressentais par rapport à ce qui se passait dans mon entreprise où l'on cassait l'emploi. »
L'auteur travaillait dans le domaine civil spatial quand il est licencié en 2005. Comme lui, des centaines de personnes sont touchées. « Personne n'en a parlé. Cette omerta m'a choqué. » Cet écrivain amateur a donc décidé de devenir professionnel et de transmettre un message de citoyen aux citoyens. « Mon message est non violent. Un autre monde est possible et souhaitable. On peut changer la société par la conscience, un meilleur comportement citoyen. La prise de conscience de la population a plus d'effet que la violence. » Il présente donc dans cet essai les outils et un plan pour une révolution non-violente planétaire.

Réactualiser la pensée de Ghandi
Son maître à penser est Ghandi : « Par la non-violence il a mis fin à la domination britannique. Je réactualise sa pensée pour le XXIème siècle. » Pour l'auteur, il y a deux manières de changer le monde actuel : par le peuple et par les institutions. C'est pourquoi son prochain livre traitera de la problématique suivante : comment faire des institutions non violentes. Jean-Paul Alonso, qui se dit révolté depuis qu'il est petit en devenant végétarien à 15 ans et objecteur de conscience à 18 ans, n'a pas pour prétention de changer le monde, il tient juste à aller au bout de ses idées.
Vendredi soir, après la séance de dédicaces, une conférence-débat était organisée sur le thème de la non-violence et la citoyenneté.

Avertissements : Les autres rubriques du blog ne sont pas des extraits de mon essai, et leur qualité n'est pas littéraire. Mon essai a été corrigé par une agrégée de grammaire.