Retour sur la « pandémie COVID-19 »

 Je précise plusieurs informations majeures qui ont été cachées au public durant la pandémie COVID-19 (SARS-COV-2 ) :

1) L'origine du virus fabriqué en laboratoire à l'Institut Pasteur

2) Les mécanismes de détérioration du cerveau prévus par ce virus

3) À quelle fin ce virus a été propagé depuis la Chine qui n'a pas collaboré avec l'OMS

4) Les milliards accumulés par les laboratoires et leurs actionnaires avec les ventes de faux vaccins et de faux tests

5) Les mécanismes de détérioration de la santé humaine prévus par les injections

6) Le projet final Great reset, transhumaniste, eugéniste et esclavaviste qui veut destruire 7,5 milliards d'êtres humains pour en conserver 500 millions.

7) Les conclusions de l'enquête du Grand Jury du Comité Corona

Durant la pandémie COVID-19 (SARS-COV-2 ) les mesures liberticides et les dessous cachés des injections présentées comme étant des vaccins ont été dénoncées par des professeurs de santé qui n'avaient pas trahi le serment d'hippocrate. Lesquels ont été interdits de se prononcer, de soigner et menacés s'ils n'obéissaient pas. Les peuples ont été contraints au confinement et à des injections de laboratoires dont la composition est restée secrète.

Le Comité Corona

L’avocat allemand Reiner Fuellmich et sa collègue, Viviana Fisher ont fondé le Comité Corona pour enquêter sur la pandémie Covid-19. 100 éminents experts mondiaux assurent qu'il n'y a pas eu de pandémie, mais une fausse pandémie de cas positifs, rendue possible par le dépistage intempestif au moyen des tests RT-PCR, détournés de leur fonction d’origine et peu fiables.

Le Grand Jury de ce comité a rendu ses conclusions le 9 juin 2022 qui ont mises en accusation plusieurs personnes pour crime contre l'humanité. « La technologie permet maintenant à la minuscule minorité de multi-milliardaires machiavéliques, avec la collaboration des médias du monde entier, d’influencer les gens afin de créer une formation de masse (...) adoptant des politiques qui vont à l’encontre des populations. Les effets de l’hypnose des masses ne durent pas très longtemps (...) La caste a donc besoin de contrôler les médias (...). En faisant cela, la caste parvient à mettre en place des mesures qui isolent les gens et rendent les individus plus vulnérables et déconnectés de l’environnement social et aussi plus obéissants. Cela résume ce qui s’est passé au cours de ces deux dernières années. »¹ Ce comité a établi qu'il s’agit d’une pandémie inventée par des psychopathes mégalomanes super riches afin de promouvoir leurs idées d’eugénisme et de contrôle total de tout et de tous.

Le COVID-19 détourne les nanotubes reliant les neurones afin de les infecter²

La COVID-19 entraine dans de nombreux cas des symptômes neurologiques, comme une perte du goût ou de l’odorat, ou encore des troubles cognitifs (perte de mémoire, difficultés à se concentrer) aussi bien durant la phase aigüe de la maladie que sur le long terme avec le syndrome dit de la COVID longue. Mais la façon dont l’infection atteint le cerveau demeurait jusqu’à présent mal connue. Des chercheurs et chercheuses de laboratoires de l’Institut Pasteur et du CNRS ont montré, grâce à des approches de pointe en microscopie électronique, que le SARS-CoV-2 détourne des nanotubes, c’est-à-dire des ponts reliant les cellules infectées et les neurones. Ainsi, le virus parvient à pénétrer les neurones qui sont pourtant dépourvus du récepteur ACE2 auquel le virus se fixe habituellement pour infecter les cellules. Cette étude est publiée le 22 juillet dans Science Advances.

Comment le SARS-CoV-2 pénètre-t-il dans les cellules du cerveau ?

Une étude récemment publiée dans Science Advances démontre que le virus emprunte des nanotubes qui se forment entre des cellules infectées et les neurones, afin d’atteindre ces derniers. (...) L’unité Trafic membranaire et pathogénèse, dirigée par Chiara Zurzolo à l’Institut Pasteur, avait précédemment pointé le rôle de ces nanotubes dans des maladies dégénératives, telles qu’Alzheimer ou Parkinson, comme pouvant faciliter le transport de protéines à l’origine de ces pathologies.

Contaminer les neurones en l’absence de récepteur

Le récepteur cellulaire humain ACE2 sert au SARS-Cov-2 de porte d’entrée vers les cellules pulmonaires (...) n’est pas exprimé par les neurones. Pourtant, du matériel génétique viral a bien été retrouvé dans le cerveau de certains patients, ce qui explique les symptômes neurologiques caractérisant la COVID aigüe ou longue (...) le virus pénètre dans les neurones eux-mêmes (… et) l’infection du cerveau depuis l’épithélium. (...) « On peut voir les nanotubes comme des tunnels avec une route au-dessus, (...) qui permettent l’infection de cellules non-permissives, comme les neurones, mais qui facilitent aussi la propagation de l’infection entre des cellules permissives. » (…).

Jean-paul Alonso, Saintes le 25/09/2023

1-  https://www.espritcreatif.ch/appels/ - Session 8.pdf

2- https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/sars-cov-2-detourne-nanotubes-reliant-neurones-afin-infecter#:~:text=La%20COVID%2D19%20entraine%20dans,dit%20de%20la%20COVID%20longue.