Le coronavirus COVID-19 - élevages intensifs et prévention
Cet article montre que la nouvelle épidémie du coronavirus COVID-19 résulte probablement
de porcs ou de volatiles produits dans des élevages industriels
intensifs, qui favorisent le développement de nouveaux pathogènes. Cette
information est absente des radios et chaînes publiques françaises,
qui parlent en boucle de l’épidémie. La conférence de
l’université de Genève du 27/02/20201
relativise les annonces médiatiques des gouvernements sans aborder la question des élevages. Idem pour le suivi
scientifique du COVID-19 sur Wikipédia3.
La transmission « aéroportée » est indiquée sur Wiki,
mais pas la transmission interhumaine par le toucher alors que les
services publics en ligne nous en parlent. Idem pour la transmission par
l’ingestion de la chair non cuite d’un animal infecté (ou de
l’animal lui-même) signalée par le site de l’État2, mais pas
sur Wiki, à Genève et les médias. Nous verrons que la transmission
de l’animal vivant à l’homme est également envisageable.
Alors qu’on nous dit vouloir éviter tous les risques de propagation, personne ne parle du commerce d’animaux vivants ou de l’alimentation carnée pouvant venir de Chine ; il faut supposer qu’il n’y en a pas, alors que la peste porcine africaine sévit en Chine (voir ci-dessous). Mais il n'est pas certains qu'on sache tout ou qu'on nous dise tout pour ménager les intérêts des trusts. Il est dit sur le site de l’État au sujet du COVID-19 que « la source n’est pas encore identifiée » (?).
L’Université de Genève cite les sept « coronavirus humains ». Les trois derniers ont été transmis par l’animal (zoonose) en 2002/2003, 2012, et en décembre 2019 pour le COVID-19. L’État écrit que l’origine animale est privilégiée sans plus.
Alors qu’on nous dit vouloir éviter tous les risques de propagation, personne ne parle du commerce d’animaux vivants ou de l’alimentation carnée pouvant venir de Chine ; il faut supposer qu’il n’y en a pas, alors que la peste porcine africaine sévit en Chine (voir ci-dessous). Mais il n'est pas certains qu'on sache tout ou qu'on nous dise tout pour ménager les intérêts des trusts. Il est dit sur le site de l’État au sujet du COVID-19 que « la source n’est pas encore identifiée » (?).
L’Université de Genève cite les sept « coronavirus humains ». Les trois derniers ont été transmis par l’animal (zoonose) en 2002/2003, 2012, et en décembre 2019 pour le COVID-19. L’État écrit que l’origine animale est privilégiée sans plus.
De tout temps le brassement des populations et
les nouvelles pratiques agricoles ont favorisé la transmission de pathogènes
inconnus et les épidémies. C’est avec l’apparition de l’élevage
au Néolithique qu’intervient la transmission de pathogènes de
l’animal à l’homme, en commençant par la variole, la diphtérie
et la rougeole. Mais c’est l’élevage industriel intensif de ces
dernières décennies, qui est responsable de l’émergence de
nouveaux pathogènes. Les bêtes confinées dans des espaces clos
reçoivent des quantités d’antibiotiques pour combattre les foyers
d’infection, sans limiter la mutation et la propagation de virus toujours plus virulents.
Le
virus H5N1 de la grippe aviaire est apparu en Asie dans les années
1990, avant d’arriver en Europe dans les années 2005-2006. Le
H5N1 touche les oiseaux, il est très contagieux, mais ne se répand
pas à l’état sauvage. Il était considéré comme non
transmissible à l’homme avant 2005. C’est l’élevage
industriel qui a favorisé son développement et sa transmission à
l’homme.
Le même scénario s’est produit en 2009 avec le virus H1N1 apparu dans les élevages de porcs au Mexique. Pour découvrir le modus operandi d’un pathogène, il faut comprendre la totalité des événements qui ont conduit à son émergence, ce qui demande une approche globale épidémiologique, biologique, environnementale et sociale.4
Encore faut-il chercher dans la bonne direction. Les virus aviaires A(H7N9) n’avaient pas été observés chez l’homme avant les infections humaines en 2017 en Chine. Il n’y a pas d’indication d’une transmission interhumaine du virus, mais les voies de transmission des oiseaux à l’homme et interhumaine font l’objet d’investigations.5
« En quelques mois, les exportations tricolores de porc ont connu une progression aussi fulgurante qu’inattendue. Suite à la peste africaine qui sévit dans l’empire du Milieu, elles ont fait un bond de 40 %, à 96.000 tonnes, à fin août 2019, précise Elisa Husson de l’Institut français de recherche du porc (IFIP). Le virus a réduit la production chinoise de moitié, à 25 millions de tonnes. Avant l’épizootie, la Chine totalisait 55 % des volumes mondiaux. En l’absence de moyens connus pour éradiquer la maladie, la demande n’a “plus de limite”, dit Guillaume Roué, président de l’interprofession Inaporc. Les disponibilités mondiales sont de 6 millions de tonnes pour des besoins de 30 millions de tonnes en Asie ! Autant dire que pour y répondre, il faudrait multiplier les élevages. Une option qui n’est pas dans l’air du temps écologique en France, où l’on ne souhaite pas non plus abandonner les clients historiques. […] Les élevages de bovins en Chine sont pour beaucoup de très petites unités. “L’élevage intensif à l’américaine, type feed-lots, commence”, précise encore Jean Marc Chaumet. Cinq abattoirs français des groupes Elivia, Bigard, Sicarev, Puygrenier et SVA ont été agréés à l’export par les services vétérinaires chinois. C’est peu par rapport à l’Irlande, qui en a 14. »6
Le même scénario s’est produit en 2009 avec le virus H1N1 apparu dans les élevages de porcs au Mexique. Pour découvrir le modus operandi d’un pathogène, il faut comprendre la totalité des événements qui ont conduit à son émergence, ce qui demande une approche globale épidémiologique, biologique, environnementale et sociale.4
Encore faut-il chercher dans la bonne direction. Les virus aviaires A(H7N9) n’avaient pas été observés chez l’homme avant les infections humaines en 2017 en Chine. Il n’y a pas d’indication d’une transmission interhumaine du virus, mais les voies de transmission des oiseaux à l’homme et interhumaine font l’objet d’investigations.5
« En quelques mois, les exportations tricolores de porc ont connu une progression aussi fulgurante qu’inattendue. Suite à la peste africaine qui sévit dans l’empire du Milieu, elles ont fait un bond de 40 %, à 96.000 tonnes, à fin août 2019, précise Elisa Husson de l’Institut français de recherche du porc (IFIP). Le virus a réduit la production chinoise de moitié, à 25 millions de tonnes. Avant l’épizootie, la Chine totalisait 55 % des volumes mondiaux. En l’absence de moyens connus pour éradiquer la maladie, la demande n’a “plus de limite”, dit Guillaume Roué, président de l’interprofession Inaporc. Les disponibilités mondiales sont de 6 millions de tonnes pour des besoins de 30 millions de tonnes en Asie ! Autant dire que pour y répondre, il faudrait multiplier les élevages. Une option qui n’est pas dans l’air du temps écologique en France, où l’on ne souhaite pas non plus abandonner les clients historiques. […] Les élevages de bovins en Chine sont pour beaucoup de très petites unités. “L’élevage intensif à l’américaine, type feed-lots, commence”, précise encore Jean Marc Chaumet. Cinq abattoirs français des groupes Elivia, Bigard, Sicarev, Puygrenier et SVA ont été agréés à l’export par les services vétérinaires chinois. C’est peu par rapport à l’Irlande, qui en a 14. »6
Selon l’OMS, « La plupart des
virus de la grippe porcine ne sont pas pathogènes pour l’homme.
Toutefois, certains pays ont signalé des cas d’infection humaine
par ces virus. La plupart ont été bénins et les virus ne se sont
pas transmis ultérieurement à d’autres personnes. On pense que le
virus H1N1, à l’origine de la pandémie de grippe en 2009-2010,
est provenu du porc et qu’il est un exemple de virus de la grippe
porcine capable de se propager facilement d’une personne à l’autre
et de provoquer la maladie.
Comme les porcs peuvent s’infecter avec des virus grippaux provenant d’hôtes divers (oiseaux et êtres humains par exemple), ils peuvent servir de “creuset”, facilitant le réassortiment des gènes de différents virus grippaux et créant ainsi un “nouveau” virus grippal. Le problème est que ces “nouveaux” virus réassortis peuvent se propager plus facilement d’une personne à l’autre ou entraîner chez l’homme une maladie plus grave que les virus d’origine. L’OMS et les partenaires du secteur de la santé vétérinaire travaillent à l’interface entre l’homme et l’animal pour définir et réduire les risques pour la santé animale et la santé publique dans les différents contextes nationaux. »7
Comme les porcs peuvent s’infecter avec des virus grippaux provenant d’hôtes divers (oiseaux et êtres humains par exemple), ils peuvent servir de “creuset”, facilitant le réassortiment des gènes de différents virus grippaux et créant ainsi un “nouveau” virus grippal. Le problème est que ces “nouveaux” virus réassortis peuvent se propager plus facilement d’une personne à l’autre ou entraîner chez l’homme une maladie plus grave que les virus d’origine. L’OMS et les partenaires du secteur de la santé vétérinaire travaillent à l’interface entre l’homme et l’animal pour définir et réduire les risques pour la santé animale et la santé publique dans les différents contextes nationaux. »7
« La peste porcine africaine est
une maladie hémorragique hautement contagieuse qui touche […]
toutes les classes d’âge […]. Sous ses formes hautement
virulentes, la peste porcine africaine se caractérise par une forte fièvre, une perte d’appétit,
des hémorragies au niveau de la peau et des organes internes ; la
mort survient en 2 à 10 jours en moyenne. La mortalité peut
atteindre 100 %. L’agent pathogène responsable de la peste
porcine africaine est un virus à ADN de la famille des
Asfarviridés. »8
Puisque les élevages industriels intensifs sont responsables de la propagation de nouveaux virus à l'homme, on peut soupçonner que ce phénomène puisse se déclarer dans nombre d'élevages intensifs dans le monde et infecter la viande produite. « Les élevages industriels actuels pourraient être des incubateurs très efficaces pour le développement des virus des prochaines grandes épidémies. La promiscuité entre les animaux regroupés par milliers y compris dans les élevages bio, permet une transmission rapide d’individu en individu, et accélère la mutation des virus », nous dit Élodie Vieille Blanchard de l’Association végétarienne de France (https://positivr.fr/, 7 février 2020).
La France serait elle devenue un pays sous-développé ? (lien en note 9)
Grippe aiguë : Oscillococcinum 200 ; Sulfur 30 CH ; Eupatorium perfoliatum 9 CH ; Gelsemium 9 CH ; Rhus toxicodendron 9 CH.
Virus type A(H1N1), H2N2, H3N2, H5N1... : Phosphorus 9 CH
Source : Guide familial de l'homéopathie Dr Alain Horvilleur, Hachette, 1999, page 129.
La France serait elle devenue un pays sous-développé ? (lien en note 9)
Traitement homéopathique préventif contre ce type de virus :
Prévention contre la grippe : Influenzinum 30 CHGrippe aiguë : Oscillococcinum 200 ; Sulfur 30 CH ; Eupatorium perfoliatum 9 CH ; Gelsemium 9 CH ; Rhus toxicodendron 9 CH.
Virus type A(H1N1), H2N2, H3N2, H5N1... : Phosphorus 9 CH
Source : Guide familial de l'homéopathie Dr Alain Horvilleur, Hachette, 1999, page 129.
Traitements naturels : La vitamine D
a fait ses preuves contre les infections respiratoires ; le zinc est
un puissant anti-viral que les Coréens utilisent en ce moment ; une
tisane de thym prévient les infections naissantes. (Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH)
Case postale - 1211 Genève 3 - Suisse)
Gestes préventifs : Attention de ne pas confondre la distanciation sociale préconisée par le gouvernement et la distanciation sanitaire avec le virus, qui n'implique pas forcément le confinement qui est catastrophique pour les relations sociales, la santé psychologique et l'activité économique du pays. Le
site de l’OMS présente les mesures de protection contre le
COVID-19, qui ne sont pas assez diffusées dans la population, ce qui provoque une négligence face au virus et de nombreuses contaminations qui sont évitables. On peut contracter les virus en serrant la
main à quelqu’un puis en se touchant les yeux, le nez ou la
bouche, mais pas uniquement, car les mains sont en contact avec de nombreuses autres surfaces
qui peuvent être contaminées. Le fait de se laver les mains
régulièrement protège mieux que le port de gants en caoutchouc. Mais attention, le
virus peut se trouver sur les gants comme sur toutes les autres surfaces, et il y a un risque de
contamination si vous vous touchez le visage avec les gants portés,
ou après les avoir enlevés sans vous avoir lavé les mains. Le
moyen le plus sûr de se saluer est d’éviter les contacts
physiques, de se maintenir à une distance d’au moins 1 mètre
avec les autres personnes, en particulier si elles toussent,
éternuent ou ont de la fièvre. Car les gouttelettes projetées
peuvent vous contaminer par voie aérienne. Éternuer dans le pli du
coude ou un mouchoir jetable et se laver les mains. La plupart des
personnes infectées présentent des symptômes bénins et
guérissent, mais d’autres peuvent avoir une forme plus grave,
surtout les personnes âgées et/ou déjà fragilisées par une autre
maladie. (https://www.who.int/fr/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/advice-for-public,
consulté le17/3/20)
Suivi de l'épidémie en France : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/infographie-coronavirus-voici-courbe-evolution-du-covid-19-hauts-france-1801216.html
Notes :
Notes :
1-
https://www.youtube.com/watch?v=qyw8YsVT3Lg,
vu le 29/02/2020.
2-
https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus Samedi 29 Février, 10h
sur le site du gouvernement français.
3-
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_%C3%A0_coronavirus_2019,
vu le 1/03/2020.
4-
Inspirée de l’interview de François Renaud, directeur de
recherche au CNRS,
https://lejournal.cnrs.fr/articles/quand-lhomme-favorise-les-epidemies,
du 23/09/2014.
5-
OMS
https://www.who.int/influenza/human_animal_interface/influenza_h7n9/fr/,
vu le 1/03/2020.
6-
https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/la-chine-un-client-strategique-mais-pas-sans-risque-pour-lagroalimentaire-francais-1145746,
Par
Marie-Josée Cougard - Publié le 6/11/2019.
7-
https://www.who.int/influenza/human_animal_interface/swine_influenza/fr/,
vu le 2/03/2020.
8-
https://www.oie.int/doc/ged/D13955.PDF,
vu le 2/03/2020.
9-https://www.swissinfo.ch/fre/politique/covid-19_les-chiffres-du-coronavirus-en-suisse/45649368?utm_campaign=swi-nl&utm_medium=email&utm_source=newsletter&utm_content=o
9-https://www.swissinfo.ch/fre/politique/covid-19_les-chiffres-du-coronavirus-en-suisse/45649368?utm_campaign=swi-nl&utm_medium=email&utm_source=newsletter&utm_content=o