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« C’est par des informations étendues et exactes que nous voudrions donner à toutes les intelligences libres les moyens de comprendre et de juger elles-mêmes les événements du monde.  » Jean Jaurès 

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Nous faisons remarquer à nos chères lectrices et chers lecteurs que l’empreinte écologique d’un livre papier est supérieure à celle d’un livre numérique. Bien que très agréable en main et à regarder sur vos étagères de bibliothèque, ce produit nécessite beaucoup de matières premières et d’énergie pour leur extraction, leur transformation, la fabrication, le transport et le stockage

L’invention numérique est une révolution dans le domaine de la transmission de la connaissance qui est aussi importante que celle de l’invention de l’imprimerie. Toutefois, nous offrons les meilleures garanties écologiques dans la fabrication de nos livres avec entre autres Imprim’vert et PEFC.

Les éditions arte-politeia vous souhaitent une très bonne lecture !

Page Présentation

Chères lectrices et autrices, chers auteurs et lecteurs,

    Je m’appelle Jean-Paul Alonso et je suis né en 1953 à Cahors (Lot). J’ai terminé ma carrière dans le secteur aérospatial en 2007, après avoir été lanceur d’alerte sur la fusion de la Snecma avec Sagem, qui a provoqué la fermeture de la filiale spatiale dans laquelle je travaillais depuis vingt ans. Je suis devenu blogueur en 2006 et essayiste en 2008 pour exposer mes stratégies de défense non-violente, puis ma méthode de démocratie directe et mon engagement pour l’écologie.

    Après un passage chez les altermondialistes, je me suis retiré à Saintes en Charente-Maritime pour réfléchir sur la politique et l’économie. J’ai terminé le Guide de la révolution non-violente à la mémoire de Gandhi en 2008, le premier tome de Politeia — Traité de politique pour la démocratie et l’écologie en 2020, après onze ans de recherches et d’écriture assidues. Poète (édi. 2005), je suis aussi passionné d’archéoastronomie (édi. 2003, 2015) et de spiritualité (édi. 2020). Les éditions arte-politeia, fondées en 2019, représentent la suite logique de mon engagement.

    J’ai réalisé cette tribune pour rendre mes œuvres plus accessibles au public et publier les ouvrages de celles et ceux qui s’activent pour bâtir un autre monde, où les guerres, la faim, la pollution, les risques climatiques et les injustices salariales, entre les sexes, entre les peuples du Nord et du Sud disparaissent ; pour plus d’égalité encore entre l’Ouest et l’Est, entre l’Occident, l’Asie et l’Afrique, et que les injustices en tout genre disparaissent complètement et pour toujours.

    Les éditions arte-politeia possèdent une ligne éditoriale qui porte la marque de leur fondateur, et qui fait leur originalité dans le monde de l’édition. Ce site est consultable directement en différents points du globe en vingt-huit langues. Comme je démarre, seules mes œuvres sont à ce jour présentes ici, mais comme tout éditeur, je souhaite publier d’autres autrices et auteurs sur tous les thèmes alternatifs qui participent à la construction d’un nouveau paradigme, comme la démocratie, l’environnement, l’enseignement, la santé, la spiritualité, etc. Et nous avons du pain sur la planche.

    L’objectif ici n’est pas de gagner de l’argent, nos autrices et auteurs seront mieux rémunérées-és que nulle part ailleurs dans le monde de l’édition, et aucune contrainte ne leur sera imposée, car le respect, la justice et la liberté totale font partie de ce projet.

Toutes les bonnes volontés porteuses d’idées et de projets sérieux ont leur place dans cette petite entreprise animée par un grand espoir.

Jean-Paul Alonso, fondateur des éditions-arte-politeia.com

Bas les masques des escrocs du covid-19

    Je constate que la pandémie du covid-19 est l’objet de mensonge dans le seul but de faire du profit, ce qui en dit long sur la sincérité des autorités françaises en matière de santé. Je fais référence notamment à l’achat et à la vente abusifs de masque, étant donné que le site de l’OMS dit ce qui suit : « Des études ont montré que le virus de la COVID-19 peut survivre pendant 72 heures sur le plastique et l’acier inoxydable, moins de quatre heures sur le cuivre et moins de 24 heures sur le carton. »¹  Une autre source dit : « Durée de vie du coronavirus sur différents matériaux ?

    Les résultats de l’étude américaine ont également montré que le virus du Covid-19 pouvait rester viable et infectieux de plusieurs heures à plusieurs jours sur différentes surfaces : Jusqu’à 72 heures, soit 3 jours, sur du plastique ; jusqu’à 48 heures, soit 2 jours sur de l’acier inoxydable, jusqu’à 24 heures, soit 1 jour sur du carton, jusqu’à 4 heures sur du cuivre. Le plastique et l’acier sont les surfaces où la viabilité du virus est la plus longue. » Mais curieusement plus loin : « Dans une étude publiée dans la revue médicale The Lancet², des chercheurs ont analysé la durée de vie du coronavirus dans des conditions proches de la vie normale (une température de 22 °C avec un taux d’humidité aux alentours de 65 %) sur différentes surfaces. Constat principal : des traces de coronavirus — à un niveau détectable — peuvent être décelées jusqu’à 7 jours sur la face extérieure d’un masque chirurgical après contamination et jusqu’à 4 jours sur la face intérieure d’un masque après contamination. »³ Puis : « Le 22 mai 2020, dans le contexte de la pandémie de Covid-19, les chercheurs Mandeep R. Mehra (en), Sapan S. Desai, Frank Ruschitzka, et Amit N. Patel publient dans la revue [The Lancet] une vaste étude […], mettant en cause l’efficacité de la chloroquine dans le traitement de cette maladie. »⁴ Ce qui en dit long sur la fiabilité de cette revue. Wikipédia cite plusieurs autres controverses affectant la crédibilité de cette revue. Dans le pire des cas, 7 masques utilisés en roulement devraient suffire.

    Il n’y a donc pas nécessité de jeter les masques, il suffit d’en avoir quelques-uns et de les porter en alternance à chacune de vos sorties dans des lieux ou la distance physique (et non pas la distanciation sociale) ne peut pas être respectée. La politique de consommation outrancière de masques ne fait pas qu’enrichir des escrocs en provoquant quantité de déchets inutiles.

    On peut lire sur le site du gouvernement et tous les autres sites qui se prononcent sur le port du masque : « Concernant les masques pour les soignants, la France a mis en place depuis le début de l’épidémie un dispositif inédit d’approvisionnement en équipements de protection individuelle grâce à un pont aérien (dont les livraisons sont quasiment achevées) et un pont maritime (dont les livraisons se poursuivent). Ce sont en tout près de 4 milliards de masques qui ont ainsi été commandés et pour une grande majorité, sont déjà livrés. »⁵ Rien n’est dit nulle part sur la possibilité de les réutiliser après un certain délai. À vous de juger si vous préférez faire des dépenses inutiles pour faire des déchets nuisibles. 

    Vous pouvez, bien entendu, opter pour un masque lavable fabriqué localmement et non en Chine.

1- https://www.who.int/fr/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/advice-for-public/q-a-coronaviruses, vu le 03/08/2020.

2- The Lancet est une revue scientifique médicale hebdomadaire britannique propriété depuis 1991 du groupe Elsevier. Lequel est l’un des plus gros éditeurs mondiaux de littérature scientifique.

3- https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2628065-coronavirus-duree-de-vie-air-objet-combien-de-temps-surface-eau-masque-tissu-peau/, vu le 03/08/2020.

4- https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Lancet#Controverses, vu le 03/08/2020.

5- https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/maladies-infectieuses/coronavirus/tout-savoir-sur-la-covid-19/article/port-du-masque-grand-public-obligatoire-en-lieux-clos-faq, vu le 03/08/2020.