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03 août 2020

Bas les masques des escrocs du covid-19

    Je constate que la pandémie du covid-19 est l’objet de mensonge dans le seul but de faire du profit, ce qui en dit long sur la sincérité des autorités françaises en matière de santé. Je fais référence notamment à l’achat et à la vente abusifs de masque, étant donné que le site de l’OMS dit ce qui suit : « Des études ont montré que le virus de la COVID-19 peut survivre pendant 72 heures sur le plastique et l’acier inoxydable, moins de quatre heures sur le cuivre et moins de 24 heures sur le carton. »1  Une autre source dit : « Durée de vie du coronavirus sur différents matériaux ?

    Les résultats de l’étude américaine ont également montré que le virus du Covid-19 pouvait rester viable et infectieux de plusieurs heures à plusieurs jours sur différentes surfaces : Jusqu’à 72 heures, soit 3 jours, sur du plastique ; jusqu’à 48 heures, soit 2 jours sur de l’acier inoxydable, jusqu’à 24 heures, soit 1 jour sur du carton, jusqu’à 4 heures sur du cuivre. Le plastique et l’acier sont les surfaces où la viabilité du virus est la plus longue. » Mais curieusement plus loin : « Dans une étude publiée dans la revue médicale The Lancet2, des chercheurs ont analysé la durée de vie du coronavirus dans des conditions proches de la vie normale (une température de 22 °C avec un taux d’humidité aux alentours de 65 %) sur différentes surfaces. Constat principal : des traces de coronavirus — à un niveau détectable — peuvent être décelées jusqu’à 7 jours sur la face extérieure d’un masque chirurgical après contamination et jusqu’à 4 jours sur la face intérieure d’un masque après contamination. »3 Puis : « Le 22 mai 2020, dans le contexte de la pandémie de Covid-19, les chercheurs Mandeep R. Mehra (en), Sapan S. Desai, Frank Ruschitzka, et Amit N. Patel publient dans la revue [The Lancet] une vaste étude […], mettant en cause l’efficacité de la chloroquine dans le traitement de cette maladie. »4 Ce qui en dit long sur la fiabilité de cette revue. Wikipédia cite plusieurs autres controverses affectant la crédibilité de cette revue. Dans le pire des cas, 7 masques utilisés en roulement devraient suffire.

    Il n’y a donc pas nécessité de jeter les masques, il suffit d’en avoir quelques-uns et de les porter en alternance à chacune de vos sorties dans des lieux ou la distance physique (et non pas la distanciation sociale) ne peut pas être respectée. La politique de consommation outrancière de masques ne fait pas qu’enrichir des escrocs en provoquant quantité de déchets inutiles.

    On peut lire sur le site du gouvernement et tous les autres sites qui se prononcent sur le port du masque : « Concernant les masques pour les soignants, la France a mis en place depuis le début de l’épidémie un dispositif inédit d’approvisionnement en équipements de protection individuelle grâce à un pont aérien (dont les livraisons sont quasiment achevées) et un pont maritime (dont les livraisons se poursuivent). Ce sont en tout près de 4 milliards de masques qui ont ainsi été commandés et pour une grande majorité, sont déjà livrés. »5 Rien n’est dit nulle part sur la possibilité de les réutiliser après un certain délai. À vous de juger si vous préférez faire des dépenses inutiles pour faire des déchets nuisibles. 

    Vous pouvez, bien entendu, opter pour un masque lavable fabriqué localmement et non en Chine.

2- The Lancet est une revue scientifique médicale hebdomadaire britannique propriété depuis 1991 du groupe Elsevier. Lequel est l’un des plus gros éditeurs mondiaux de littérature scientifique.

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