LA FIN DE L'HUMANITÉ COMMENCE EN 2030 !
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Ce
message est de la plus haute importance, car dans moins de 12 ans, la
population va s’effondrer avec les guerres, les famines et les
épidémies, si nous ne réagissons pas rapidement. J'écris depuis 9
ans une œuvre importante présentée ci-dessous (Manifeste pour
la démocratie et l'écologie - Traité de non-violence politique et économique). Le tome 2 sur l'économie et
l'écologie est prévu pour dans plusieurs années. Je travaillais
sur le sujet de la démocratie, quand le dernier rapport du GIEC
d'octobre 2018 m'a incité à rechercher un complément
d'information. C'est la découverte du dernier graphique du MIT (équipe dirigée par Denis Meadows), qui
n'a pas été diffusé par les médias, qui s'ajoute à plusieurs
autres études de scientifiques (Belpomme, CNRS, Jancovici,
Meadows, Wackernagel, Rees,
Reeves,...), qui m'ont alarmé. Comme le
colibri, j'apporte ici ma goutte d'eau, comme le battement d'ailes
d'un papillon, les bons gestes que vous ferez demain sauveront
peut-être l'humanité d'une fin funeste. Tel est l'objet ambitieux de
ce message à diffuser à vos proches.
En
1970, le Club de Rome charge le Massachussetts Institute of
Technology (MIT) d’un rapport. Le Rapport Meadows, qui sort en
1972, est la première étude savante qui alerte les politiques et
les médias sur les dangers d'une croissance économique et
démographique non maîtrisée. Mise à part les écologistes, la
population est peu informée de cette première alerte. La croissance
se poursuit. En 1992, la réactualisation du rapport Meadows demande «
une politique internationale judicieuse » pour ramener « le monde
en territoire soutenable ».
La
première Conférence de l'ONU sur le climat (COP01), en mars 1995 à
Berlin, et toutes celles qui ont suivi chaque année jusqu'à nos
jours, n'ont pas réussi à mettre en place un instrument juridique
pour contraindre les pays à respecter l'environnement et les climats. Les conclusions du rapport Meadows, réactualisé
en 2004, sont plus pessimistes. Toujours aucun plan international de
sauvetage en vue, la croissance se poursuit. En 2012, pour le
quarantième anniversaire du premier rapport Meadows, leurs auteurs
ont confirmé que leurs prévisions s'étaient réalisées, pour la
période 1970 à 2000 (zone crise du graphique). Les courbes
prévisionnelles montrent que la courbe « Food per capita » indique
un effondrement des ressources alimentaires (food) disponibles par
personne (per capita). Cette pénurie alimentaire sera responsable
d'une baisse continue de la population mondiale à partir de 2030,
qui sera suivie d'une baisse continue de la production mondiale
jusqu'en 2100, où s'arrête l'échelle de temps du graphique.(12)
Le
dernier rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur
l'évolution du climat) paru en octobre 2018 confirme pour la énième
fois que la forte émission de gaz à effet de serre (GES) est due à
la pollution générée par notre modèle économique : industrie,
agronomie, transport, surconsommation, etc. L'atmosphère se
réchauffe à une vitesse de +0,2°C par décennie, qui s'ajoute à
la surchauffe de +1°C déjà produite au siècle dernier. Ce
réchauffement confirme les alertes lancées par plusieurs
scientifiques, auxquelles les responsables politiques et les
industriels sont restés sourds. Plusieurs scénarios décrivent les
répercussions qu’aura le réchauffement climatique, si les pays
industrialisés ne prennent pas des mesures d'urgence. Sachez que
vous êtes les premiers acteurs à pouvoir faire quelque chose, parce
que vous êtes les plus gros consommateurs d'énergie comme toutes
les personnes des pays développés. Vous êtes, vous les Européens,
les Américains, etc., les plus gros émetteurs de CO2.
Plusieurs
scénarios catastrophiques envisagés par certains scientifiques sont
plus que jamais d'actualité. L’astrophysicien Hubert Reeves en
donne trois (1). Le premier est celui que nous vivons et qui semble
inéluctable. La température augmentera de 3°C à 5°C. Des îles
et des villes basses disparaissent déjà sous les océans, la faune
et la flore migrent déjà vers le Nord, mais la
majeure partie d’entre elles sera dans l’incapacité de s’adapter
faute de temps et disparaîtra. La population humaine chutera parce
qu’elle aura du mal à s’adapter et à s’approvisionner en eau
potable et en nourriture (cause de l'inversion de la courbe de la
population). Deuxième scénario, la température atteindrait 60 à 70°C
et la vie reculera d’un milliard d’années, seules certaines
algues et bactéries survivront. Comme il restera cinq milliards
d’années de vie au soleil, on peut envisager un retour de l’homme,
mais rien n’est sûr. Troisièmement, la température s’élèvera
de plusieurs centaines de degrés, et toute vie sera anéantie. La
vie reculera de quatre milliards d’années et le temps
astronomique laissera encore moins de chance à la réapparition de
l’homme sur terre. Notons que le temps astronomique, qui provoque
régulièrement les ères glacières (2), est trop long pour
contrebalancer le réchauffement climatique en cours. La
température moyenne de la Terre durant la dernière glaciation était inférieure de 5°C à celle d'aujourd'hui, le niveau des océans était
alors de 120m plus bas. C'est dire les transformations
occasionnées par les variations de température du climat de
quelques degrés seulement.
Les
gaz à effet de serre (GES) qui provoquent le réchauffement climatique
sont l'ozone (O3), le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane (CH4).
L'ozone est fourni en grande quantité par l'activité industrielle
et les chlorofluorocarbures (CFC). La combustion du bois et des
carbones fossiles, charbon, lignite, pétrole ou le gaz naturel
(méthane) augmente le CO2 dans l'atmosphère. La déforestation des
forêts amazoniennes (Brésil et bientôt la France en Guyane ?),
congolaise et indonésienne, est responsable de 20 % des émissions
mondiales de CO2. La réduction de l'albédo (renvoi des rayons
solaires vers l'espace) dû à la disparition des glaces polaires
accélère le réchauffement. Cette fonte expose le pergélisol qui
libère une grande quantité de méthane, un GES 28 fois plus néfaste
que le dioxyde de carbone. « Les concentrations en méthane
dans l’atmosphère sont deux fois et demie plus fortes que ce
qu’elles étaient avant le début de la révolution industrielle.
Après une stabilisation au début des années 2000, elles sont
reparties à la hausse depuis 2007, avec une nette accélération en
2014, confirmée en 2015. » Les activités humaines sont
responsables à 60 % de ces émissions. (5)
Le GIEC donnait dans ses rapports précédents les contributions approximatives des principaux gaz à effet de serre : 60 % pour la vapeur d'eau ; 26 % pour le dioxyde de carbone ; 8 % pour l'ozone ; 6 % pour le méthane et l'oxyde nitreux. Le réchauffement augmentera la vapeur d'eau et les nuages dans l'atmosphère. Les deux graphiques suivants montrent une corrélation entre l’élévation de la température du globe et l'augmentation des émissions de CO2 dans l’atmosphère.
Le GIEC donnait dans ses rapports précédents les contributions approximatives des principaux gaz à effet de serre : 60 % pour la vapeur d'eau ; 26 % pour le dioxyde de carbone ; 8 % pour l'ozone ; 6 % pour le méthane et l'oxyde nitreux. Le réchauffement augmentera la vapeur d'eau et les nuages dans l'atmosphère. Les deux graphiques suivants montrent une corrélation entre l’élévation de la température du globe et l'augmentation des émissions de CO2 dans l’atmosphère.
La croissance économique inconsidérée et la durée de vie du dioxyde de carbone (CO2) et des autres GES, font qu'ils s'accumulent dans l'atmosphère terrestre et emprisonnent les rayons infrarouges responsables du réchauffement de la Terre. L'élimination du CO2 par stockage dépend en partie de la capacité d’absorption de notre environnement et notamment des forêts. Depuis l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère, on a constaté que les arbres séquestrent plus de carbone et poussent plus vite (3) ; selon des études faites aux États-Unis et en France. Sans être la solution unique, le reboisement contribuera à réduire les GES. Les océans absorbent près de 30 % des émissions de CO2 que nous rejetons dans l'atmosphère. Mais on ne sait pas jusqu’à quand, car la pollution marine provoque une acidification de l’écosystème marin, qui détruit les coraux et le phytoplancton, qui est le principal incubateur du CO2 avec les algues. La préservation de la biodiversité des océans est un facteur important dans l'équation climatique.
Le
scénario du cancérologue Dominique Belpomme étudie l’incidence
du réchauffement climatique sur la santé humaine. L’horloge
biologique de l’évolution de la vie sur terre est très lente,
elle se compte sur une échelle de temps qui se chiffre en millions
d’années. De ce fait, l’humanité risque de disparaître suite à
de nouveaux problèmes de santé impossibles à résoudre. Le nord
avec l’augmentation de la chaleur verra la multiplication des
bactéries, des virus et des parasites, et l’apparition de maladies
tropicales inconnues sous nos latitudes. Quand on additionne tous ces
facteurs, nous pouvons craindre un « sixième épisode d’extinction
biologique » dont l’humanité sera responsable, nous dit le
professeur Belpomme (1).
Une
longue chaîne de solidarité humaine entre le Nord et le Sud devra
empêcher les murs de continuer à se dresser aux frontières des
États pour empêcher les populations en perdition d’immigrer. Ces murs étaient au nombre de 66 en 2016, et les
États vont vouloir les multiplier pour arrêter les migrations
climatiques et économiques qui vont s'amplifier. Sinon l’humanité
sera coupée en deux géographiquement et les populations du Sud dont
l'empreinte carbone ou écologique est très faibles vont payées nos
excès. Selon une extrapolation de la courbe démographique
précédente, c'est environ 3 à 4 milliards d'êtres humains qui
sont menacés de disparaître entre 2030 et 2100.
Je
vous invite à corriger chacun de vos gestes inconsidérés, car si
l'on considère l'effet papillon dans la théorie du chaos, chacun
d'eux peut déclencher l'emballement climatique et provoquer
l'extinction de l'humanité (4). Tout en vivant normalement comme
tout le monde, j'ai acquis la discipline de réfléchir à tous les
actes de ma vie, en éliminant tout ce qui est superflu, en réduisant
ce qui est nécessaire et en augmentant la qualité écologique de
mes produits (aliments, vêtements...) Au début, ça demande un
effort, mais on s'y habitue vite, et l'entraînement fait que de
nouvelles idées nous viennent pour être chaque jour plus juste en
général. Cette expérience a motivé l'écriture de la Charte de
2003, reprise et augmentée dans mon Guide de la révolution non-violente en 2008 (voir mon
blog « Livres de... » dans le Guide) (9). Le
développement personnel représente une priorité sans
laquelle l'humain reste prisonnier de ses envies, qui sont stimulées
et exploitées par les publicistes pour faire surconsommer tout et
n'importe quoi. J'ai développé une méthode de méditation laïque
à cet effet, qui est présentée également le blog « Livres
de... » dans le Guide. Ne pas perdre de vue que les
émissions de GES et la surchauffe climatique dépendent
essentiellement de notre consommation, qui dépend de la maîtrise de
nous-mêmes, de notre capacité à ne pas céder aux sirènes de la
publicité et des apparences. Revenons aux GES.
La
plus grande consommation énergétique à l'origine des GES est
dépensée (hors agriculture (10)) dans la production des objets que nous
consommons et utilisons chaque jour. Il faut donc apprendre la
sobriété et éviter de renouveler nos appareils inconsidérément.
Tant qu'ils fonctionnent, conservez-les, faites-les réparer. Faites durée vos produits, car l'échéance 2030 annoncée
par le MIT est dans moins de 12 ans. Si la combustion au gazole
rejette plus de particules fines (11), elle rejette en tout moins de GES que l'essence (13),
contrairement à ce qu'affirmait notre ministre de l'environnement
Nicolas Hulot ; difficile d'y voir clair, je sais. Et aujourd'hui, le
climat est devenu la priorité des priorités. L’État doit
encourager le transport ferroviaire pour limiter les poids lourds
principaux responsables de la pollution. Un poids lourd consomme
entre 30 et 40 litres de gazole au 100 km et il faut produire ces camions.
Idem, pour les téléphones et autres objets, prenons l'exemple d'un
téléphone ou d'un smartphone, 90% de l'énergie utile pour son
fonctionnement global (100%) provient aujourd'hui de sa fabrication,
10% de l'énergie consommée sert à son fonctionnement durant toute
sa vie ; bien trop courte (7).
Faites
durée le plus longtemps possible vos produits, tout en réduisant
leur utilisation au maximum, fermez vos box Internet la nuit par
exemple, baissez votre chauffage, levé le pied en voiture, faites
les petits trajets en vélo, etc. Si les fabricants vous poussent à
la consommation avec l'obsolescence programmée due à des composants
constitutifs, comme une batterie intégrée ou des logiciels ou des
applications toujours plus gourmands en mémoire, réfléchissez à
d'autres moyens plus propres pour communiquer. Est-il utile d'être
constamment connecté à un réseau, suis-je plus heureux connecté ?
En diminuant la taille de vos objets vous réduisez la quantité de
matières premières utilisée et les émissions de GES qui sont
toujours proportionnelles à la taille des produits industriels, tout
étant égal par ailleurs. C'est valable pour tout, y compris les
voitures, les ordinateurs, mais aussi l'habitat. Chaque mètre carré
de sol artificialisé (bétonné) diminue la biodiversité,
c'est-à-dire rapproche la catastrophe climatique. Soyez le plus
rationnel possible, acheté ou renouveler vos objets que contraint
forcé.
Quand
on utilise Internet pour faire des transactions, stocker ou échanger
des données, on sollicite à distance des serveurs. Les serveurs
sont des ordinateurs de stockage des données, empilés dans des
armoires entreposées dans des salles appelées data centers. Selon
Data Center Map, il y aurait 4081 data centers répartis dans 118
pays. (8) L'usage d'Internet et le trafic
mondial de données ont été multipliés par 4,5 entre 2011 et 2016
selon l’Autorité de régulation des communications électroniques
et des postes. En 2015, la consommation électrique annuelle des data
centers situés en France équivalait à celle de la ville de Lyon.
Une manière simple de réduire ses dépenses énergétiques, est de
réduire son usage d'Internet, des communications et transactions
électroniques, de supprimer tous les mails, fichiers et autres
informations dont vous n'avez plus l'usage et de vider les corbeilles
numériques. D'autres gestes, comme payer en espèces pour éviter la
monétique, éteindre les box Internet quand elles ne servent pas
(nuit, heures d'absence ou autre), idem pour tout ce qui est connecté
au réseau électrique, hertzien, optique, etc. Regardez autour de
vous, parlez-vous, et de belles rencontres à deux pas de chez vous
vous attendent, j'en suis certain.
Pour
absorber le carbone (CO2) de l'atmosphère, il faut planter des
arbres autant qu'on peut, éviter l'artificialisation des sols et
privilégier l'habitat collectif tout en recherchant l'autonomie
alimentaire et énergétique localement pour limiter les transports ;
c'était mon projet pour la ville de Saintes en 2014 (voir mes
blogs). Ne restez surtout pas dans les grandes villes, qui seront les
premières à souffrir du manque d'approvisionnement, sans pour
autant aller artificialiser les sols des campagnes. Il faut prévoir des jardins
collectifs avec des récupérateurs d'eau de pluie (très important).
Produire ou acheter des aliments biologiques. Acheter des produits en
vrac dans des contenants réutilisables (sac en tissu, boîte...).
Pour plus d'information, voir ma charte. Quand des milliards
d'individus appliqueront cette sobriété, nous aurons peut-être la
chance d'éviter des souffrances à nos enfants et petits-enfants.
Mais douze ans c'est très bientôt, nous sommes dans le lot. Je
n'exagère rien, croyez-moi, je n'ai aucun intérêt à le faire. Le
principe de précaution doit s'appliquer plus que jamais.
Merci de faire suivre ce message à vos proches, car mes moyens sont très limités.
Notes
:
1
- Mal de terre, Hubert Reeves, Seuil, 2003, cité par Belpomme voir aussi
- Ces
maladies créées par l'homme, Dominique Belpomme, Albin Michel, 2004
- Avant
qu'il ne soit trop tard, Dominique Belpomme, Fayard, 2007
2
- Les plus longs cycles qui modifient notre environnement naturel et
notre vie sont les ères géologiques, qui alternent ères glacières
et ères tempérées. Ils sont dus à des facteurs astronomiques qui
ont été mis en évidence par le savant serbe Milutin Milankovitch
(1879-1958)1. Milankovitch montre que ces cycles sont engendrés par
l'influence gravitationnelle du soleil, de la lune et des planètes
géantes exercée sur la terre, qui subit aussi des variations dues à
l'excentricité de son orbite, à l'inclinaison de son axe
(l'obliquité) et à la précession des équinoxes.
3
-
futura-sciences.com/planete/actualites/developpement-durable-dioxyde-carbone-fait-pousser-forets-plus-vite-22469/
4
- En mathématique, la théorie du chaos est illustrée par l'effet
papillon, qui est empruntée à Edward Lorenz (1917-2008), qui
s'interrogeait si un battement d'ailes de papillon au Brésil,
pouvait provoquer une tornade au Texas. Nos
prédictions en matière climatique sont fiables, car elles dépendent de mesures incontestables.
5 - lejournal.cnrs.fr/articles/le-methane-en-augmentation-dans-latmosphere
6 - coralguardian.org/les-coraux-menaces/
7 - chiffres de Jancovici sur France culture le 17/10/2018 ; voir aussi ses nombreuses conférences sur YouTube.
8 - leparisien.fr, 20-02-2017
9 - Sur la page d'accueil de ce blog, cliquez sur "afficher mon profil" sous ma photo à droite. Dans la nouvelle page qui s'affiche, tapez une requête dans la fenêtre en haut à gauche. Ensuite, faites défiler le texte avec la souris jusqu'à la Charte du consommateur responsable ou toute autre requête.
10 - Agrobiologie, homéopathie, phytothérapie, et autres cultures qui évitent les produits chimiques de synthèse non biodégradables sont indispensables en la matière.
11 - Contrairement au CO2, qui est un oxyde qui reste des décennies dans l'atmosphère, les particules fines disparaissent, tout au plus, après quelques jours. De plus, les précipitations les éliminent. (voir asef-asso.fr) Ce sont les personnes qui vivent dans les grandes agglomérations polluées, proches des industries polluantes ou des routes où passent les poids lourds, etc., qui sont les plus exposées au cancer.
12 - Voir les graphiques page 14 de : http://sustainable.unimelb.edu.au/sites/default/files/docs/MSSI-ResearchPaper-4_Turner_2014.pdf et l'étude de Jean-Marc Jancovici : https://jancovici.com/recension-de-lectures/societes/rapport-du-club-de-rome-the-limits-of-growth-1972/ et ses nombreuses conférences sur YouTube.
13 - La durée de vie des moteurs diesel étant plus longue, cette technologie génère moins de renouvellement des véhicules et moins de fabrication, donc moins de GES ; le diesel consomme environ de 10% à 20% de moins de carburant, donc émet moins de GES. Les particules fines émises ont une durée de vie faible comparée CO2. La réduction du transport routier reste indispensable.
5 - lejournal.cnrs.fr/articles/le-methane-en-augmentation-dans-latmosphere
6 - coralguardian.org/les-coraux-menaces/
7 - chiffres de Jancovici sur France culture le 17/10/2018 ; voir aussi ses nombreuses conférences sur YouTube.
8 - leparisien.fr, 20-02-2017
9 - Sur la page d'accueil de ce blog, cliquez sur "afficher mon profil" sous ma photo à droite. Dans la nouvelle page qui s'affiche, tapez une requête dans la fenêtre en haut à gauche. Ensuite, faites défiler le texte avec la souris jusqu'à la Charte du consommateur responsable ou toute autre requête.
10 - Agrobiologie, homéopathie, phytothérapie, et autres cultures qui évitent les produits chimiques de synthèse non biodégradables sont indispensables en la matière.
11 - Contrairement au CO2, qui est un oxyde qui reste des décennies dans l'atmosphère, les particules fines disparaissent, tout au plus, après quelques jours. De plus, les précipitations les éliminent. (voir asef-asso.fr) Ce sont les personnes qui vivent dans les grandes agglomérations polluées, proches des industries polluantes ou des routes où passent les poids lourds, etc., qui sont les plus exposées au cancer.
12 - Voir les graphiques page 14 de : http://sustainable.unimelb.edu.au/sites/default/files/docs/MSSI-ResearchPaper-4_Turner_2014.pdf et l'étude de Jean-Marc Jancovici : https://jancovici.com/recension-de-lectures/societes/rapport-du-club-de-rome-the-limits-of-growth-1972/ et ses nombreuses conférences sur YouTube.
13 - La durée de vie des moteurs diesel étant plus longue, cette technologie génère moins de renouvellement des véhicules et moins de fabrication, donc moins de GES ; le diesel consomme environ de 10% à 20% de moins de carburant, donc émet moins de GES. Les particules fines émises ont une durée de vie faible comparée CO2. La réduction du transport routier reste indispensable.
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