LA DÉSINFORMATION EN LIGNE PREMIER POUVOIR

 Un quart des journalistes assassinés sont discrédités par des trolls diffusés par des industries médiatiques spécialisées dans le mensonge. 65 entreprises privées se livrent à la désinformation en créant des avatars pour discréditer des personnes (journalistes, politiques,...).

Des récits mensongers sont fabriqués par des robots en quelques secondes et diffusés par des dizaines de milliers d'avatars. Ces prestations de désinformation sont vendues entre 6 à 15 mille euros. Les fournisseurs sont payés par des circuits financiers occultes de blanchiment d'argent.

Des anciens des services secrets ou de l'armée (USA, Russie, Israël) sont plus particulièrement impliqués. Des plateformes comme Meta, YouTube, etc. ont réduit leur équipe pour traquer la désinformation afin augmenter leur profit.

Depuis 2017, Forbidden Stories (litt. « Histoires interdites ») est une plateforme et un site Internet de l'association de journalistes Freedom Voices Network soutenu par Reporters sans frontières. Il propose aux journalistes menacés de mettre à l'abri leurs informations et à poursuivre leurs travaux s'ils sont menacés, emprisonnés et éventuellement de manière posthume s'ils sont assassinés.

On ne s'étonnera pas que le mensonge médiatique fait partie du droit qu'il n'est pas interdit par la loi contrairement au mensonge économique et à la fausse identité. Il y aurait des projets sur la table (?).

Remarque : France culture a fait des coupures de l'émission dans son podcast tellement le sujet est sensible

Lien de l'émission sur France culture : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/signes-des-temps/retour-sur-les-enquetes-autour-des-campagnes-de-desinformation-de-team-jorge-4766130